Lorsque nous sommes allés voir le musée ferroviaire de Seyatel, nous sommes montés dans un marshroutka (n°1015). Le hic, c’est qu’il fallait demander au conducteur de s’arrêter à l’arrêt. Comme nous ne savons pas à quoi pouvait ressembler l’endroit où nous devons descendre, je commençais à m’inquiéter. Cependant, un monsieur nous a rassurés en nous disant qu’il nous préviendrait lorsqu’il verra le musée. Donc grâce à lui, nous avons pu descendre là où nous voulions. Spassiba !