novembre 2009

Irkoutsk

Publié le 29 novembre 2009 à 3:47 dans

Notre logeuse habitait dans une maison divisée en plusieurs logements (photo disponible sur la page dédiée à Irkoutsk). Ce qui nous a bien surpris.

En attendant notre train pour Ulan-Ude, nous avons rencontré des touristes français. Si si !! C’était une famille de 4 personnes !

En Russie, le touriste français se reconnaît facilement par son sac à dos Quechua !

Second passage à Irkoutsk

Publié le 29 novembre 2009 à 3:31 dans

Notre second passage à Irkoutsk n’a pas été sans aventure. Pour partir de Listvianka, nous avons pris un bus qui nous amenait à Irkoutsk.

Lorsque nous nous sommes trouvés seuls avec le conducteur, il a du nous demander où nous descendions. Samuel lui a montré nos billets et le conducteur a dit que c’était ici.

En descendant, nous découvrons que ce n’est pas l’arrêt prévu. Nous étions dans une ville inconnue, dans un pays dont nous ne parlions pas la langue et avec aucune idée de où nous étions ni de où nous devrions être. En deux coups de fil et dix minutes, notre correspondante locale, Marina, était là pour nous ramasser. Et c’est également grâce à elle que Samuel a pu récupérer sa tchapka !

Un grand merci à Marina pour son aide !

Publicité…

Publié le 29 novembre 2009 à 2:50 dans

En plus de ce journal, nous tenons régulièrement notre page « Russie » à jour où nous mettons des photos et l’impression générale que nous a laissé chaque ville. Cette page est accessible uniquement par le bandeau du haut. Cette page est plus axée sur le voyage tandis que le journal est principalement centré sur nous. Cela nous évite aussi de mettre trop de photos dans le journal pour ceux qui ne disposent pas forcément d’une connexion internet haut débit.

Vous y trouverez les pages de :

À ce monsieur dans le marshroutka vers Seyatel

Publié le 29 novembre 2009 à 2:13 dans

Lorsque nous sommes allés voir le musée ferroviaire de Seyatel, nous sommes montés dans un marshroutka (n°1015). Le hic, c’est qu’il fallait demander au conducteur de s’arrêter à l’arrêt. Comme nous ne savons pas à quoi pouvait ressembler l’endroit où nous devons descendre, je commençais à m’inquiéter. Cependant, un monsieur nous a rassurés en nous disant qu’il nous préviendrait lorsqu’il verra le musée. Donc grâce à lui, nous avons pu descendre là où nous voulions. Spassiba !

Listvianka

Publié le 26 novembre 2009 à 11:54 dans

Après deux nuits passés dans le train avec deux Russes, nous avons été pris en charge par notre correspondante locale qui nous a mis dans une voiture pour nous amener à Listvianka. Samuel a oublié son chapeau dans la voiture…  Notre lieu d’habitation est en face du lac Baïkal.

Lors du levée du soleil, le ciel était voilé et il y avait de la brume. Mais dans l’après-midi, le ciel s’est découvert pour nous laisser une magnifique journée avec du soleil.

Le village est vraiment petit. En une matinée, on peut faire tout le tour.

Nous avons visité le musée du Baïkal où nous avons vu deux phoques nerpas qui tournent en rond dans leur aquarium ainsi que des poissons que l’on trouve dans le lac. Il y a également des échantillons de roches, d’oiseaux empaillés et de poissons dans des bocaux.

Le lac Baïkal offre une bien belle vue car il change de couleur selon l’heure.

Tchapka !

Publié le 24 novembre 2009 à 3:54 dans

Je voulais acheter une tchapka en arrivant en Russie. Je n’en avais pas trouvée à mon goût.

Hier, j’ai perdu bêtement mon bonnet dans le bus.

Aujourd’hui, il fait -8°C, j’ai acheté une tchapka…

Zoo de Novossibirsk

Publié le 24 novembre 2009 à 3:05 dans

Notre deuxième journée a été principalement la visite du zoo de Novissibirk et la recherche d’un bonnet. Car dans tout voyage, il y a des pertes.

Au début de notre visite dans le zoo, j’ai bien cru que nous verrons aucun animal car la plupart des cages était vide. Nous n’osions pas s’aventurer dans les bâtiments que nous voyons car il y avait une inscription en cyrillique. Après deux heures d’errance dans le froid, nous trouvons enfin un bâtiment indiquant « aquarium ». Ce qui voulait dire pour nous, un endroit chauffé. Après nous avons trouvé aussi le bâtiment pour les animaux tropicaux.

Le zoo abrite de beaux spécimens dont certains, je n’avais jamais vu. Certains animaux avaient un comportement bien étrange… puisqu’ils n’arrêtaient pas de tourner en rond (comme les ours polaires).

Petite question : Est ce qu’il y a des écureuils en Russie ? Nous en avons vu un avant d’aller au zoo. Il est gris et marron…

L’Américain à Novossibirsk

Publié le 23 novembre 2009 à 3:37 dans

Il semblerait que les musées ferroviaires soient des lieux de rencontre des touristes prenant le transsibérien. Est-ce étonnant ? Pas vraiment.

Aujourd’hui, nous sommes retournés à la gare centrale de Novossibirsk, puis nous avons cherché le musée ferroviaire de la ville qui ne devait pas être loin. Nous trouvons un bâtiment indiquant « Musée » et « РЖД » (que vous pouvez traduire par SNCF). Nous entrons dans le bâtiment, suivons une flèche indiquant « musée » et au moment d’ouvrir la porte un garde nous interpelle, parle assez fort et nous fait comprendre que nous devons sortir. Nous sortons, allons faire un petit tour avant de repasser devant le bâtiment.

Décidés d’avoir quelques explications, nous nous dirigeons vers un monsieur qui sortait du bâtiment. Le monsieur re-entre dans le bâtiment, nous le suivons et l’abordons avec un « Pajalsta » que nous commençons à maîtriser. Le monsieur en question était un new-yorkais ne parlant pas un mot de russe. Il avait pris le train depuis Saint Pétersbourg. Fasse à la détermination du garde, nous ressortons tous les trois ensembles. L’Américain interpelle en anglais toute personne entrant ou sortant du bâtiment. Sa méthode finit par payer. Une russophone accepte de l’aider (et nous avec) en allant chercher quelqu’un qui parle anglais. En attendant nous discutons avec des russes qui connaissent quelques mots d’anglais. Nous comprenons que le musée est définitivement fermé mais que celui de Seyatel (СЕЯТЕЛЬ) est ouvert.

Nous en savons assez, mais notre touriste Américain est là pour interviewer un ingénieur qui aurait posé des rails du transsibérien afin d’obtenir des anecdotes. Il obtient un entretiens avec la directrice de l’établissement. Nous le laissons ici sachant qu’il avait prévu de visiter l’autre musée.

À Seyatel, nous payons le prix fort (plus de trois fois le tarif russe) pour entrer dans le musée plus un supplément modeste pour pouvoir prendre des photos. Au milieu de notre visite, nous retrouvons notre Américain complétement énervé qui vient de se faire mordre par un chien. Au moment où nous l’avons quitté, il avait réussi à faire comprendre ce qui lui était arrivé mais le propriétaire du chien semblait inconnu des gardes du musée.

Commentaires

Publié le 22 novembre 2009 à 9:06 dans

Vous l’aviez peut-être remarqué, à chaque mise à jour les articles apparaissaient comme n’ayant plus aucun commentaire. En cliquant sur un article avec commentaire, on pouvait même voir la mention « Aucun commentaire » suivie des commentaires.

Le problème a été détecté, analysé et éliminé (enfin, normalement…).

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De Ekaterinbourg à Novossibirsk

Publié le 22 novembre 2009 à 7:56 dans

Nous avons commencé le voyage avec deux Russes, un homme et un femme, la soixantaine. La dame tient à bien nous accueillir dans le compartiment. Nous essayons de communiquer et apprenons entre autre qu’elle travaille/travaillait en tant que provodnista. Lorsque Caroline voulut aller se laver les dents, il nous expliqua que nous étions dans une zone sanitaire et qu’il faudrait attendre. Ils nous quittèrent à Omsk et furent remplacés par une mère et sa fille.

Au réveil, le paysage est bicolore, blanc et brun. Entre les forêts de bouleaux où plus un sapin ne pousse, le sol enneigé est recouvert d’une végétation basse, principalement des herbes. Les prairies ont l’air immenses mais à l’horizon, perdu dans la brume, on devine toujours les forêts de bouleaux.

J’ai l’impression que certaines de ces étendues sont cultivées. Lorsque le train est passé devant un village le long de la voie, il m’a semblé reconnaitre des amas de foin. Mais un quart d’heure plus tard, le paysage à l’air à nouveau sauvage.

Des temps en temps, nous passons devant des village étranges. Constitués par de petites maisons hétéroclites, certains sont entourés d’une palissade. L’un était parcouru à sa périphérie par un fin tuyaux jaune qui se trouvait à hauteur d’homme. A chaque rue, le tuyau dessinait un portique autorisant le passage de petits camion.

D’autres fois, nous passons devant un quai, sans construction en vue aux alentours. Peut-être regardé-je du mauvais côté… Je réalise que ma fenêtre donne sur le sud mais je n’ai aucun espoir de voir le soleil. Le ciel est d’un gris uniforme, il semble même avaler les forêts lointaines.

L’appareil photo n’apprécie pas la neige, le brun apparait bien plus gris qu’en vrai… Mais l’idée est là…

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